Histoire

Langue internationale par excellence, l’anglais s’est introduit dans le français et bien d’autres langues encore.

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Il laisse son empreinte par des mots et des expressions, que l’on glisse au milieu d’une conversation ou d’un texte. Ces anglicismes sont parfois tellement évidents que l’on oublie qu’ils en sont, et les utilisent en tant que terme adéquat sans penser à les traduire. Même s’ils sont écorchés par l’accent, et bien loin de leur sonorité d’origine, ils restent présents au quotidien.

La linguistique sont obligées de légiférer

La langue de Molière a subi l’introduction sinueuse des anglicismes sans vraiment y prendre garde. Aujourd’hui leur présence est telle que les instances de la linguistique sont obligées de légiférer, alors qu’ailleurs d’autres se battent farouchement pour ne pas se laisser envahir.

Les Québécois, hautement attachés à la francophonie, veillent au grain, pour ne pas se laisser envahir et absorbé par l’anglais environnant, tant géographiquement que lexicalement.

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Culture générale intacte et non polluée

La francisation de mots doit être conservée pour ne pas appauvrir la langue. Dans les communications de haut niveau, les examens, les universités, les entretiens et à l’écrit, il est de bon goût de ne pas utiliser d’anglicismes, pour prouver sa culture générale intacte et non polluée. Une manière de résister et de se démarquer.

Pour exemple simple, l’on ne dit pas faire du shopping comme partout ailleurs dans le monde, mais magasiner, ce qui est en soit, logique, « faire les magasins ».

Quoi qu’il en soit toute langue évolue avec son temps, s’enrichissant de locutions et de termes empruntés ailleurs.